En Suisse, nous ne pouvons, hélas, nous appuyer sur une loi pour obliger les entreprises privées qui truffent leur publicité de termes plus ou moins compréhensibles – devons-nous rappeler que toute la population suisse n’a pas pris anglais en deuxième langue – à changer leurs habitudes. Par contre, une multitude de réactions pourrait y arriver.
Ils pensent comme nous
De plus en plus de personnes réagissent devant l’avalanche d’anglicismes et d’attaques à notre langue. Nous transmettons ci-dessous leur avis avec plaisir.
- Raymond Spira (L’Essor, 06.2022) « Le mélange des genres«
- Jean-Noël Cuénod, écrivain journaliste, directeur de la collection LES ARCHITECTES DE LA SAGESSE (Bon pour la tête 15.12.22) « La langue française brûle ! Qui s’en soucie ?« )
- Pascal Décaillet (GHI 12.10.22) « L’allemand, l’italien, pas l’anglais«
- Sur les nouvelles formes d’écriture, nos amis rédacteurs du magazine Vigousse s’en sont donné à coeur joie.
- Laurent Flutsch (Vigousse 481, 26.02.21) – Aperçu d’inculture générale
- François Longchamps, Président du Conseil d’Etat, Genève, 24.03.18) – Dginiva
Alors, si vous entreprenez une quelconque démarche, mettez-nous en copie et informez-nous des éventuels résultats. Avec votre accord, nous publierons votre lettre.
N’hésitez pas non plus à nous envoyer vos éventuelles photos, extraits d’articles que nous pourrons utiliser pour notre rubrique Des Fleurs et des orties et sur notre page Facebook.
Pour cela : notre formulaire est prêt, il n’attend que votre participation.